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L’analyse du risque crédit chez Attijariwafa Bank
 
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• Type de document : Mémoire/PFE
• Nombre de pages : 88
• Format : .Doc
• Taille du fichier : 217.87 KB
Extraits et sommaire de ce document
L'amélioration de l'accès des PME aux financements en général et au crédit bancaire en particulier fait l'objet de nombreuses préoccupations qui touchent tant les établissements de crédit que les instances réglementaires. Dans un marché du crédit devenu globalement offreur, les petites et moyennes entreprises rencontrent encore des difficultés pour trouver les ressources financières dont elles ont besoin pour mener à bien leur stratégie de croissance et d'investissement. Mais la satisfaction du besoin de ressources à long terme n'est pas le seul point qui pose problème à ces entreprises. Le cycle d'exploitation est également soumis à une contrainte de financement, les difficultés relatives au financement du compte demeurant encore nombreuses et intenses pour bon nombre de PME. De manière unanime, recherche académique et rapports opérationnels s'accordent à considérer que la résolution de ces difficultés passe par l'établissement d'une relation de confiance durable entre les dirigeants d'entreprise et les établissements de crédit, la constitution d'un tel capital relationnel étant conditionnée par un repositionnement de l'évaluation du risque au cœur de l'étude bancaire. Malchance pour les emprunteurs ou nécessité pour les créanciers ? Consubstantielle à la distribution de crédit en nombre, cette situation ne peut pas être modifiée par la disposition d'un nouvel outil d'évaluation dont useraient les établissements de crédit pour fonder leur choix. L'utilisation actuelle des grilles de scoring ou des modalités de notation montre que l'établissement de critères quantitatifs homogène ne permet pas d'apprécier correctement la qualité d'une entreprise. De même, l'analyse financière standard fondée sur la méthode des ratios et des soldes intermédiaires de gestion ne suffit pas à donner une vision dynamique de l'entreprise qui est pourtant la seule pertinente dès lors que l'augmentation des ressources externes vise à produire une inflexion de sa trajectoire. Les méthodes alternatives proposées (BDFI, AFDCC,…), ne semblent pas avoir à ce jour satisfait les établissements de crédit qui demeurent peu nombreux à y recourir.
Cette problématique s'inscrit dans le droit fil des orientations du Comité de Bâle II sur le contrôle bancaire qui a défini les trois piliers sur lesquels repose le nouveau dispositif d'adéquation des fonds propres : des exigences minimales de fonds propres qui constituent l'ossature fondamentale du dispositif, calculées selon une méthode dite « standard », version aménagée et modifiée des règles définies dans l'accord de 1988, mais aussi selon une méthode dite «modèles partiels» qui vise à proposer de nouvelles règles fondées sur les systèmes de cotations internes des banques ; un processus de surveillance prudentielle de l'adéquation des fonds propres des institutions et de leurs procédures internes d'évaluation ; et l'utilisation efficace de la discipline de marché pour améliorer la communication d'informations et encourager l'application des pratiques bancaires saines et sûres. Les systèmes de cotations internes des banques font l'objet d'une attention privilégiée dans ce dispositif ce qui soulève d'une part la question de la constitution des portefeuilles d'actifs et d'autre part, l'évaluation du risque du portefeuille de crédits. Dans la mesure où les PME constituent une clientèle privilégiée des établissements bancaires, la recherche de techniques d'appréciation des risques à court terme et à long terme que leur financement fait encourir se présente comme un point dur de la stratégie des banques. Fort de ce constat, le présent rapport qui s’intitule « La prévision de la défaillance des PME : Scoring et Notation » vise à présenter les outils, les méthodes et la pratique d’une grande banque marocaine dans le domaine de la gestion du risque. En plus de la présentation des méthodes utilisées par Attijariwafa bank dans le domaine cité ci-dessus, nous allons essayer de compléter chacune des parties par une petite présentation des dernières évolutions en matière de gestion des risques au niveau théorique, pour proposer, enfin de compte, un modèle complémentaire et tester sa validité sur un échantillon du portefeuille du centre d’affaires.

PARTIE I : PRESENTATION GENERALE D’ATTIJARIWAFA BANK
I. PRESENTATION D’ATTIJARIWAFA BANK

I.1. Renseignements à caractère général
I.2. Activités de la banque
I.2.1-Banque des particuliers et des professionnels
I.2.2-Banque des Marocains sans Frontière
I.2.3-Banque de l’Entreprise (BE)
I.2.4-Banque d’Investissement (BI)
I.2.5-Banque Privée, Gestion d’Actifs et Assurance
I.2.6-Services Financiers Spécialisés
I.3. Organisation d’Attijariwafa bank
II. LES CREDITS DE FONCTIONNEMENT PROPOSES PAR ATTIJARIWAFA BANK AUX PME
PARITIE II : MODELES, OUTILS ET PRATIQUES D’EVALUATION DU RISQUE CREDIT
I. ANALYSE THEORIQUE DU RISQUE CREDIT

I.1. Définitions et généralités
I.2. Les composants du risque de crédit
I.2.1. Le risque inhérent à la qualité du débiteur
I.2.2. Le risque lié au type de financement accordé et à l’inadéquation du financement au besoin
I.2.3. Le risque lié à la prise de garanties
I.2.4. Le risque inhérent au manque de suivi
I.3. Modèles théoriques d’analyse de risque crédit
I.3.1. Réglementation prudentielle des activités de crédit
I.3.2. Méthodes de gestion traditionnelle du risque de crédit
II. PRATIQUES D’ANALYSE DE RISQUE CREDIT : LES PRATIQUES CLASSIQUES D’ANALYSE DU RISQUE DE CREDIT
II.1. L’analyse discriminante et le credit scoring
II.2. La notation
II.3. La relation entre La probabilité de défaut et la prime de risque
II.4. L’estimation du taux marginal de mortalité
II.5. La méthode RAROC
PARTIE III : ANALYSE DU RISQUE CREDIT AU SEIN D’ATTIJARIWAFA BANK
I. ANALYSE DE L’EXISTANT

I.1. Les contraintes réglementaires
I.1.1. Le ratio de solvabilité
I.1.2. Le ratio de division des risques
I.2. Le système interne de notation d’Attijariwafa bank
I.2.1. Objectifs de la notation
I.2.2. Procédure de notation
I.2.3. Méthodologie de la notation
I.2.4. Mode de calcul de la notation
I.2.4.1. Calcul de la note financière
I.2.4.2. Calcul de la note qualitative
I.2.4.3. Calcul de la note de contrepartie système
I.2.4.4. Note calculée par l’analyste par application des règles méthodologiques
II. PROPOSITION D’UN MODELE COMPLEMENTAIRE
II.1. Les modèles de prévision de défaillance: généralités
II.1.1 Définition
II.1.2 Objectifs
II.1.3 Méthodologie
II.1.4 Les problèmes relatifs à l'élaboration des modèles
II.1.5 Le choix des indicateurs
II.1.6 La technique de discrimination
II.1.7 La validation du modèle
II.2. Le score AFDCC
II.2.1. Rappel : le modèle AFDCC
II.2.2. Test de validation du modèle
II.2.2.1. Validation sur un échantillon témoin
II.2.2.2. Les erreurs de classement
II.3. La fonction score de la Banque de France (Score Z)
II.3.1. Rappel
II.3.2. Test de validation du modèle
II.3.2.1. Validation sur un échantillon témoin
II.3.2.2. Les erreurs de classement
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