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Conception et mise en œuvre d’un système d’outils de suivi des performances chez Attijariwafa Bank
 
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• Type de document : Mémoire/PFE
• Nombre de pages : 65
• Format : .Pdf
• Taille du fichier : 297.68 KB
Extraits et sommaire de ce document
A la veille de l’échéance 2010, les économies nationales font face de plus en plus à une concurrence internationale accentuée par l’ouverture progressive des frontières commerciales. Ce phénomène comme prédit par plusieurs économistes, va mener progressivement à la disparition du tiers des entreprises du monde, les autres sont amenées à appliquer une mise à niveau pour se préparer à cette échéance. Le secteur financier et bancaire ne fait pas exception à cette situation et connaîtra les mêmes mutations. Ceci explique entre autre la grande vague de fusion, d'absorption et de rapprochement que connaît ce secteur de part le monde. C'est dans ce souci de mondialisation qu'apparaît la nécessite de mettre en place un système qui encourage la rentabilité. Cette rentabilité ne peut être assurée qu’à travers un monitoring continu des ressources d’où l’importance d’un reporting pertinent qui élargie la vision Stratégique de la banque. Au Maroc et pendant de nombreuses années, les banques sont restées à l'écart de toute dynamique stratégique. Cette absence de comportement stratégique trouve son explication dans la nature du système bancaire marocain, qui a pour longtemps été un marché de nature anticoncurrentiel, fortement réglementé et relevant de l'essentiel de la puissance publique, aussi bien en termes de détention du capital qu'en terme de fixation des règles de fonctionnement du marché, notamment en ce qui concerne les taux débiteurs et créditeurs, le prix des services bancaires, les quantités de crédits distribuées, l'entrée dans le secteur, le choix des clients...etc. Ces conditions permettaient d'assurer aux acteurs bancaires des revenus appréciables. Historiquement, le système bancaire marocain est passé par Quatre phases importantes qui ont marqué la configuration du paysage bancaire national depuis l'indépendance : Une phase qui s'étale de 1956 à 1966, qui marque la libération de l'héritage colonial et la mise en place de structures fondamentales de bases : création de la Banque du Maroc (1959), création de la monnaie nationale (1959) et d'un certain nombre d'organisations bancaires BNDE (1959), BMCE (1959), CPM (1961)... Une phase comprise entre 1967 et 1985, caractérisée par l'organisation du système bancaire avec la première loi bancaire (1967) et l'introduction de groupes marocains dans le capital des banques existantes grâce au Dahir de Marocanisation. Une phase de 1986 au milieu des Années 90, marquée par l'application du PAS et le lancement des grandes réformes bancaires et financières qui vont aboutir en 1991 à la levée de l'encadrement du crédit, la libéralisation des taux d'intérêt, le décloisonnement des structures et la promulgation de la nouvelle loi bancaire en juillet 1993.
Depuis la signature des accords du GATT à nos jours qui à vu le renforcement de l’infrastructure bancaire par la diversification des services, la vague de privatisation et l’arrivée d’institutions étrangères dans l’environnement bancaire marocain. Face à cette déréglementation encore inachevée du secteur qui s'est traduite par l'apparition de nouveaux mécanismes de concurrence. Les banques marocaines cherchent à fournir des réponses stratégiques appropriées susceptibles de leur offrir les meilleures perspectives de rentabilité et de croissance. Ce réponses ne peuvent être trouvées que dans l’activité propre à la banque, dans son quotidien l’institution bancaire traite une multitude d’informations qui rendues plus pertinentes, se voit tourner en un important avantage concurrentiel. A ce stade un Reporting précis synthétisé en tableau de bord s’installe comme action incontournable pour la maîtrise de l’information. Combiné à d’autre outils d’aide à la prise de décision, il permet non seulement d’élargir la vision du management bancaire mais il assiste aussi à optimiser les ressources actuelles car il retrace avec beaucoup plus de précision que les rapports périodiques, l’évolution de l’activité et reste plus proche des réalités opérationnelles.

Partie I – Présentation du système bancaire marocain
Chapitre I - Système bancaire marocain

Section I) Chiffres-clés du système bancaire
Section II) Faits marquants
Section III) Structure du système bancaire
Chapitre II - PRESENTATION D’ ATTIJARIWAFA BANK
Chapitre III - Bâle II et les IFRS

Section I) Accord
Section II) Le passage de Bâle I à Bâle II
2-1 Bâle I
2-2 Bâle II
2-3 Travaux réalisés pour l’implémentation de Bâle II
Section III) Les IFRS
Partie II- Le Contrôle de gestion Bancaire
Chapitre I- les spécificités du contrôle de gestion bancaire

Section I) la problématique des services
Chapitre II) Les contraintes du Contrôle de Gestion Bancaire
Section I) Les contraintes réglementaires
Section II) Les contraintes liées à la nature de l’activité
Chapitre III- Le contrôle de gestion bancaire comme système d’information et de pilotage
Section I) Tableau de bord et reporting
1-1) Les éléments du tableau de bord
1-2) Définition d’un indicateur
1-3) Qualité d’un indicateur
Section II) Processus d’élaboration d’un tableau de bord
2-1) Principes de base
2-2) Processus de mise en place
Chapitre III) Analyse critique et recommandations
Section I) les différents outils d’analyse et de suivi
Section II) les tableaux de bord de la banque privée.
Section III) Analyse et recommandations
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